L’effet de serre est un processus naturel vital à notre condition de vie sur Terre. Une barrière naturelle due aux gaz à effet de serre, la troposphère, empêche les rayonnements infrarouges qui nous viennent du Soleil d’être rejetés dans l’espace. Ces gaz, qui comprennent principalement la vapeur d’eau, le dioxyde de carbone, l’ozone, et le méthane absorbent et retiennent les rayonnements infrarouges. Sans cela, la température moyenne à la surface de notre planète qui est aujourd’hui de l’ordre de 15°C, serait de – 18°C[1]. Autrement dit, la vie telle que nous la connaissons actuellement n’y serait pas possible.
Or les scientifiques ont observés sans ambiguïté une accélération des émissions de gaz à effet de serre induite par les activités humaines à partir de la fin du XVIIIe siècle, moment de la Révolution industrielle. Ces émissions ce sont précipitées à partir de la « grande accélération », entamée au sortir de la Seconde Guerre mondiale[2]. A l’heure actuelle, nous rejetons plus de 40 milliards de tonnes de gaz à effet de serre chaque année dans l’atmosphère. C’est cet ajout qui, petit à petit, diminue le passage des rayonnements infrarouges de notre atmosphère vers l’espace et piège la chaleur.
« Imaginez que vous êtes une petite planète… »
Valérie Masson Delmotte, paléoclimatologue française, directrice de recherche au Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement (LSCE – Univ Versailles St-Quentin/CNRS/CEA) était auditionnée en octobre dernier par les 150 membres de la Convention Citoyenne. Voici comment elle expliquait, de manière imagée, l’effet de serre :
« Imaginez que vous êtes une petite planète. Votre corps est chaud et envoi un rayonnement invisible, infrarouge autour de lui. Si vous vous couchez le soir et que vous ne mettez pas de couette, vous allez perdre de la chaleur et vous aurez froid. Si vous mettez une couette, la couette piège votre chaleur et au bout d’un moment c’est douillet : c’est l’effet de serre naturel. Mais si en permanence on rajoute des couettes, on ne voit pas tout de suite l’effet, mais au bout d’un moment on voit bien que ça se réchauffe. Le principe de l’effet de serre sur Terre est un peu similaire : on empêche une partie de la chaleur de la Terre de partir vers l’espace sous forme de rayonnements par des composés qu’on ajoute dans l’atmosphère »[3].
« Depuis 1900, la communauté scientifique estime qu’il n’y a pas d’autres facteurs que les activités humaines pour expliquer le réchauffement. En revanche, le climat réagit à ça et amplifie la perturbation. Quand il fait plus chaud, l’air contient plus de vapeur d’eau, qui est un gaz à effet de serre. Quand il fait plus chaud, il y a moins de neige et de glace, on perd alors l’effet miroir et le réchauffement est accentué. Ce qu’on observe, c’est donc la machine climatique qui réagit à notre perturbation en amplifiant le réchauffement »[4].
Le « code barre » du réchauffement climatique réalisé par un climatologue du service météo britannique permet d’avoir un aperçu du réchauffement climatique en France entre 1901 et 2018 – une année, une barre ; bleu, plus froid ; rouge, plus chaud[5].
Dans son rapport de 2018 les constats du Giec sont les suivants : le climat mondial s’est déjà réchauffé d’1°C environ en moyenne par rapport à l’ère préindustrielle. Déjà + 1,5°C en moyenne en France métropolitaine durant cette même période[6].
Photographie : ©Katrin Baumann
[1] Rapport spécial sur « les impacts d’un réchauffement climatique global de 1.5°C par rapport à 2°C et les trajectoires d’émissions de gaz à effet de serre à suivre pour limiter le réchauffement à 1.5°C », publié le 8 octobre 2018
[2] « Annual average temperatures for France from 1901-2018 using data from Berkeley Earth », [en ligne le 2 décembre 2019], https://showyourstripes.info/
[3]Intervention de Valérie Masson-Delmotte devant les 150 membres de la Convention Citoyenne pour le climat, 5 octobre 2019, Conseil économique, social et environnemental
[4] Intervention de Valérie Masson-Delmotte devant les 150 membres de la Convention Citoyenne pour le climat, 5 octobre 2019, Conseil économique, social et environnemental
[5] Fressoz Jean-Baptiste et Bonneuil Christophe, L’Evènement Anthropocène, Paris, Seuil, 2013
[6] « Agir en cohérence avec les ambitions », Rapport annuel du Haut Conseil pour le Climat, Version Grand Public, juin 2019
Commentaires fermés.
Qu’est-ce que l’effet de serre?
ARNAUDIESQu’est-ce que l’effet de serre?
Farabale
8Commentaire
JOBIN
Dans mon commentaire, il y a une erreur fin du 1er paragraphe où j’ai écrit « l’albédo doit être proche de celui de la Lune (que l’on affirme comme étant un morceau de Terre) soit 0.8 » La valeur n’est pas 0.8 mais 0.080.
ARNAUDIES
Tout est faux dans cet exposé médiocre et irréel .
Le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau. La vapeur d’eau représente 1 % de l’atmosphère, tandis que le CO2 n’en représente que vingt-cinq fois moins, et cela en supposant ce que personne n’a jamais démontré, à savoir que le CO2 serait également réparti dans l’atmosphère ; ce dont il existe plein de raisons de douter.
Il est faux de dire que
»les scientifiques estiment depuis 1900 qu’il n’y a aucune autre explication que l’activité humaine dans le »réchauffement » de la planète
»
La Terre a connu des phases de réchauffement bien plus intenses que de nos jours, cela sans la moindre activité humaine décelable. C’est archiconnu, je perdrais mon temps à donner des détails. Le climat a toujours »varié », oscillant entre grandes glaciations et périodes interglaciaires chaudes, plus chaudes qu’actuellement.
L e grand savant mathématicien serbe Mitulin Milankovitch (thèse publiée en 1928) a accompli des travaux de Titan pour expliquer le mécanisme des grandes glaciations de l’ère quaternaire. Son oeuvre, méconnue jusqu’aux années 1960, est aujourdhui au centre des études SERiEUSES sur le climat.
Il a défini un modèle climatique de notre planète qui ‘a pas pris une ride jusqu’à aujourd’hui, et qui est adopté par la communauté des VRAIS scientifiques. Ce modèle prend en compte les paramètres astronomiques principaux dont dépend le climat, ET RIEN D’AUTRE :
Voici les paramètres :
la précession des équinoxes, l’inclinaison de l’axe de rotation diurne de la Terre sur la verticale sidérale, l’excentricité de l’écliptique et la position dans les repères sidéraux du grand axe de l’écliptique. (qui fait une révolution sidérale autour de notre soleil en cent cinq mille ans)
En combinant tout ce qui était connu avant 1920 sur ces paramètres, il a construit un modèle remarquable qui a fait ses preuves, puisqu’il a pu entre autres établir la périodicité (cycles de 8000 ans) du maximum d’intensité des moussons d’Asie du Sud, et de l’Océanie du nord. A partir de ce modèle, il a obtenu des allemands des fouilles archéologiques au Yémen géographique (plusieurs fois,la France, au sud de l’arabie saoudite), et il a ainsi découvert ce qu’il avait prévu : des vestiges extraordinaires de civilisations antérieures aux Pharaons, en particulier des villes entières comme M’aariv. Ainsi que des preuves d’hydrographie riche, abondante, ainsi que l’halieutique qui va avec. Ainsi que des vestiges d’ouvrages d’art destinés à retenir des eaux en abondance pour nourrir ces villes, qui datent de plus de six mille ans en remontant le passé depuis aujourdhui. Ces preuves écrasantes valident son hypothèse que pendant les moussons intenses, au lieu d’être un désert impitoyable, le Yémen est une jardin d’Eden florissant qui bénéficie d’un climat chaud et luxuriant. Ces périodes fastes durent moins de 4000 ans sur les 8000.
Cet exposé que je viens de lire dénote une incroyable ignorance des réalités. Mettons les pendules à l’heure :
Si on entasse la totalité des humains vivants dans un espace avec les normes des couchettes SNCF de seconde classe, il suffit d’un récipient de 7 km de long, 1 km de haut et 1 km de large pour contenir tout le monde à l’aise car dans la masse il y aura au moins 40 % de personnes en bas âge qui peuvent tenir à 10 dans un mètre cube.
La totalité de l’atmosphère habitable (les thibétains vivent à l’année jusqu’à 5000m d’altitude, et les habitants du lac Titicaca vivent à l’année à 3800 m d’altitude), c’est trois fois 10^9 km 3, donc 3x (10^(18)) mètres cubes, par conséquent pour la remplir d’humains, il faudrait
430 000 000 (quatre cent trente millions) de couloirs de 7 km de long, 1 km de haut et 1 km de large, dont chacun pourrait contenir largement la totalité des êtres humains vivants.
Et on voudrait nous faire croire qu’avec la quatre cent millionième partie de l’atmosphère terrestre habitable occupée par des humains, on pourrait changer le climat ? on nous prend pour des imbéciles, non ?
D’autre part c’est une honteuse escroquerie de faire croire que tout le CO2 qu’envoient les activités humaines dans l’atmosphère, y reste. La vérité est qu’on ne sait même pas s’il en reste, car une majeure partie de ce CO2 se recycle par diverses voies : une grande partie est détruite par la photosythèse, et une autre partie, énorme mais malns connue, se dissoudront ans les océans. Et ce processus de dissolution dans les océans. Voici un tableau :
température de l’eau (°C) solubilité du CO2 engrammes par litre
0 3,346
10 2,318
20 1,688
30 1,257
40 0,973
50 0,761
60 0,576
Ce tableau démontre que c’est la chaleur qui augmente le CO2 atmosphérique et non l’inverse. Car 60 % du carbone présent dans la croûte terrestre est celui contenu dans le CO2 dissous dans les océans.
Je garde le meilleur pour la fin :
réserves totales prouvées de charbon dans le monde : 10^(12) tonnes.
Pouvoir calorifique moyen du charbon :il faut 1 kg de charbon pour élever de un degré Celsius la température de 10 litres d’eau.
Donc les 10^(12) tonnes de charbon en réserve sur la planète, si on les brûlait tous d’un
seul coup, élèveraient d’un degré Celsius la température de 10^(13) tonnes d’eau.
La totalité de l’eau présente sur la planète est 1 400 000 000 de km 3, donc 1,4 x 10^(18) tonnes. Là-dessus, les océans en contiennent environ 1,25 x 10^(18) tonnes, c’est-à-dire 1,25x 10^(5) fois plus que 10^(13) tonnes.
DONC, si on brûlait dun seul coup la totalité des réserves de charbon de la planète, cela augmenterait la température des océans de 1/(1,25 x 10^(5)) de degrés Celsius. Je redis ça en français :SI ON BRULAIT LA TOTALITÉ DES RÉSERVES DE CHARBON CONNUES ET PROUVEES DE LA PLANETE, CELA AUGMENTERAIT LA TEMPÉRATURE MOYENNE DE TOUS LES OCEANS DE LA PLANÈTE DE MOINS DE UN CENT-MILLIÈME DE DEGRÉ CELSIUS.
Or, le charbon est bien plus abondant que le pétrole et le bois réunis. En conséquence en comptant avec une très grosse marge de sécurité :
SI ON BRULAIT LA TOTALITE DES RESERVES DE CHARBON, DE PÉTROLE ET DE BOIS DE LA PLANETE, CELA AUGMENTERAIT LA TEMPÉRATURE MOYENNE DES OCÉANS DANS LE MONDE ENTIER DE MOINS DE UN CINQUANTE MILLIMÈME DE DEGRÉ CELSIUS, UNE AUGMENTATIOIN RIGOURESUEMENT INDECELABLE.
Mais les humains ne brûlent pas du tout la totalité des réserves de charbon, de bois et de pétrole à la fois ! voilà deux siècles qu’ils brûlent du charbon et 150 ans qu’ils brûlent du pétrole. En les cumulant, ils peuvent encore tenir le coup avec du fossile pendant au minimum deux siècles (attention, le bois est renouvelable). Par suite, ils peuvent brûler tout ce qu’ils veulent au rythme actuel et augmenter tant qu’ils veulent ce rythme, jamais ils le parviendront à faire bouger d’un dix millième de mm le niveau du mercure dans un thermomètre à mercure. si on voulait, par ces feux, faire monter la température moyenne de l’eau des océans.
Si, on fait le même calcul avec la température de l’air, on arrive à des résultats encore pires.
Conclusion : tout ce qui se raconte dans l’écolobobosphère sur ces histoires de réchauffement anthropique est inexact,pour rester courtois c’est même honteux la façon dont on se moque des gens, on les prend tous pour des idiots du village. Il n’y a qu’une solution devant ces gens endoctrinés : ou ils sont déficients mentalement, ou ils sont de mauvaise foi, c’est l’un ou l’autre.
Allez, une dernière :
masse de l’atmosphère terrestre : plus de 5x 10^(15) tonnes. Donc masse approximative du CO2 atmosphérique terrestre :
5 x 0,0004 x 10^(15) tonnes, c’est-à-dire 2 x 10^(12) tonnes.
Mais attention, une tonne de CO2 ne contient pas une tonne de charbon car le charbon est du carbone pur. Le CO2 contient un peu moins de 30 % de carbone pur. Donc:
carbone pur contenu dans l’atmosphère sous forme de CO2 = 6 x 10^(11) tonnes.
rejets actuels annuels de CARBONE PUR obtenus par brûlage de charbon chaque année :et envoyés dans l’atmosphère par brûlage :
environ 5x 10^9 tonnes.
Donc pour épuiser les réserves de charbon de la planète à ce rythme,qui est à peu près constant,il faut :
10^(12) divisé par 5 x 10^9 =environ deux siècles.
<et si on tients compte des réserves encore inconnues, l'ère du charbon peut durer plus de trois siècles.
En fait, depuis les actions supides des écologistes qui ''luttent contre le nucléaire'', la consommationd e charbon, qui baisaitde 2 % par an régulièrement, recommence à augmenter de 1,5 % par an. Même avec cete augmentation, on ne 'laura pas épuisé dans deux siècles, surtout si on apprend à dissocier leCO2 de façon industrielle, cequi ferait du CO2 atosphérique une énergie renouvelable. L'énerge nucléaire permettrait de dissocierde façnn industrielle le CO2 atmosphérique, plusieurs méthodes sont désormais au point. Mais sans centrales nucléaires, inutile d'y compter.parconséquent, la ''lutte contre le nucléaire'' contribue à l'augmentation des rejets de CO2 dans l'atmosphère par l'humanité.
Evidemment si on suivait les recommandations de la commission citoyenne,il y aurait une autre solution : appaivrir sauvagement les français pour diminuer autoritairement leur cnommationd'énergie primaire.Mais le hic, c'est que les français ne constituent que 0,9 % de la population du monde et qu'ien s'appauvrissant volontairement, ils ne font même pas baisser envaleur absolue les rejets annuels de CO2 dans l'atmosphère.
Rejets actuels de CO2 des français chaque année : environ 700 000 000 de tonnes. rejets totaux de'lhumanité : 37 000 000 000 de tonnes. Docn les français cntribuent à ces rejets pour
exactement 1,9 % des rejets mondiaux. Donc si onimpose la super pauvreté aux français en divisant par deux leurs émissions de CO2, ça fera baisser les rejets mondiaux de moins de 1 %, pendant que la totalité des auters natins augmenteriont les leurs de 10 à 20 %.
La fermeture de Fessenheim va augmenter les rejets de CO2 de la France d'environ 7 à 10 %.
Rejets de CO2 des humains dans l'atmosphère par leur respiration : 1,25 000 000 000 de tonnes, donc presque deux fois plus que la totalité des rejets des français toutes causes confondues.
Rejets annuels de CO2 des français par la respiration : 10 000 000 de tonnes, donc 125 fois moins que la totalité des humains,.
MAUNTENANT LE COUP FINAL
les humains ne sont ps les seuls à rejeter du CO2 dans 'latmosphère. Toutc equi vit en rejette, et notreplanète estcouverte devie jusque dans les océans. EN plus des êters vivants, il y a le volcanisme (très importante source de rejets de toute sorte dans 'latmosphère) les oscillatioins du dégazage de océans (ils rejettent du CO2 quand il fait chaud et en absorbent quand il fait froid, donc cetet oscillatioin est saisonnière et commeles saissons sont inversées entrehémishère nor et hémissphère sud, eh bien ce cycle est tès cmpleceet aboutit à de formdables rejets de CO2 et absorptions de CO2 par 'latmosphère d'une complxite effroyable.Wakipédia écrit ceci (allez vérifier !)
''Les rejets de CO2 dans l'atmosphère sont à 3 % anthropiques et à 97 % naturels ''
Ainsi les écologistes pourrissent la vie des français pour 1,89 % des 3 % de rejetsanthripoqies, donc pour 5,7 DIX-MILLIEMMES DES REJETS DE CO2 TOTAUX ADANS E MONDE ENTIERN NATURELS COMME ANTHROPIQUES.
FAIRE CROIRE QUE DE SSACRIFICES POUR UNE FRACTION DE 5,7 DUXMILLIEMES DES REJETS VONT CHANGER LE DESTIN DE L'HUMANITE EST TOUT SIMPLEMENT AHURISSANT, ON SE DEMANDE SUR QUELLE PLANETE ON VIT DANS LES MILIEUX BRANCHES DE PARIS
Si quelqu'un n'est pas content de ces chiffres,qui ont été soigneuseent vérifiés, je 'lnvite d'avance à les contester démonstraion en mains, on rira un peu !
CONCLUSION
:
quels que que soient leurs titres, , les acteurs de cette commission n'ont pas pris le temps de réfléchir. Tout est décalé par rapport aux réalités et leurs allusions aux nécessaires sacrifices des français sont odieuses. Ce seront des sacrifices tout aussi inutiles que ceux des guerres qu'on a trop soutenues ans le passé. Ds sacrifices inutiles, les français en ont déjà bien assez supportés ! ils ont gagné le droit à vivre leur vie sans être culpabilisés.
Farabale
Je serai disposé à écouter ces climatologues le jour où ils mettront par écrit l’historique des variations de l’entropie thermodynamique du systeme Soleil+terre+espace terrestre, sur un siecle.
Sans quoi tout ce qui est dit est davantage de l’arrogance du » l’homme est le centre de l’univers ».
Gauthray
Je serais intéressé par le mode de fonctionnement de la convention citoyenne. Mon statut de retraité me permet de rencontrer quelques personnes actives ou non dans la société civile, de tout bord politique, qui m’enrichissent à chaque rencontre, dans le respect de chacun.
J’aimerais mettre à profit, mon expérience personnelle au service de la collectivité en participant à l’élaboration de projets divers et variés pour aider la la bonne évolution de la société française qui semble en pétrification.
Débattre d’idées pour aboutir à un projet de Société me semble salvateur pour une société du numérique toujours plus agressive vis à vis des individus affichant une couleur politique, une appartenance religieuse, ou tout autre élément de nature à des attaques en règle ! Pourrions-nous nous impliquer dans un tel projet et de quelle manière ?
Marzat
Oui on peut agir sans que cela coute.
Plantons des arbres au lieu de perdre un département tous les 4 ans.
Habitons le ciel suivant la formule de l’architecte Roland Castro avec son démonstrateur à Aubervillier.
Construisons en hauteur pour habiter près de son travail avec des coûts de construction et de consommation prouvées de un tiers plus faible.
gazagnadou
Le transport routier a une part non négligeable dans la production de CO2 .
Le retour à vide en transit de semis qui font les navettes entre l’Europe du Nord et celle du Sud
est une ineptie économique ( payer un chauffeur et user un véhicule qui ne transporte rien) et écologique : brûler du gazole ( pour des prunes !!!) doit nous interroger et mettre les lobbys de la sottise au pied du mur .
denise
Attention, votre interprétation de l’effet de serre est complètement fausse et prête à confusion :!
Le principale gaz à effet de serre c’est la vapeur d’eau (60% d’après le GIEC) les zones de la planètes ou il y a le plus d’eau (mers et forets) sont les plus tempérées !
on ne peut par parler de climat sans parler d’eau, on ne peut par parler d’effet de serre sans parler d’effet parasol
L’atmosphère a un fonctionnement « symétrique » , il fonctionne dans les deux sens, quand l’effet de serre augmente l’effet parasol augmente dans la même proportion.
La densité joue énormément sur l’absorption d’énergie et surtout le taux de vapeur d’eau (60% des effets), dans les zones sèches (Sahara) le rayonnement solaire est très fort le jour, les sols stockent beaucoup de chaleur, mais il fait très froid la nuit parce que le rayonnement des sols n’est pas retenue comme il y a moins d’effet de serre.
Si l’atmosphère n’existait pas nous aurions une température moyenne de -18°c et une forte amplitude thermique entre le jour et la nuit (+150° et -168°c) . plus l’atmosphère est dense plus l’amplitude thermique entre le jour et la nuit est faible, et c’est pour cela que les mers (70% de la planète) et les forêts équatoriales sont les zones les plus tempérées de la planète. Si les continents transpiraient autant que les mers nous n’aurions pas de canicules. La répartition des pluies dans un système forestier est la suivante : 70% d’évapotranspiration 30% d’infiltration, les ruissellements sont rares dans les forets, c’est parce qu’on a coupé l’évapotranspiration l’été (donc au moment ou on en aurait le plus besoin) que le climat se dérègle !
Besson
De courtes émissions diffusées sur les télévisions nationales pourraient remplacer les bavardages pseudo scientifiques des journalistes.